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Le poète chilien, prix Nobel de littérature en 1971, s’éteignait il y a quarante ans à Santiago du Chili, sa trace demeure à l’échelle de toute l’Amérique latine.
Pablo Neruda (1904-1973), poète chilien d’envergure planétaire, fier défenseur de la pensée communiste, mourait il y a quarante ans à Santiago du Chili, onze jours après le coup d’État de Pinochet qui renversait le gouvernent populaire dirigé par Salvadore Allende. C’est comme s’il mourait à l’heure même où, là-bas, mourait toute liberté.
Le Printemps des poètes se devait de lui rendre un hommage fervent. Homme robuste, au visage rond pétri de bonté, figure majeure de la littérature hispano-américaine, Pablo Neruda, de son vrai nom Ricardo Elieur Neftali Reyes, aura connu la clandestinité puis l’exil sans doute parce que celui qui a été le barde de tout un continent, désireux de parler au nom du peuple, ne désarma pas face au fascisme, et lutta pied à pied pour l’avenir de l’homme. « J’appartiens, disait-il, à la majorité primordiale, je suis une des feuilles du grand arbre humain. »
Le Printemps des poètes se devait de lui rendre un hommage fervent. Homme robuste, au visage rond pétri de bonté, figure majeure de la littérature hispano-américaine, Pablo Neruda, de son vrai nom Ricardo Elieur Neftali Reyes, aura connu la clandestinité puis l’exil sans doute parce que celui qui a été le barde de tout un continent, désireux de parler au nom du peuple, ne désarma pas face au fascisme, et lutta pied à pied pour l’avenir de l’homme. « J’appartiens, disait-il, à la majorité primordiale, je suis une des feuilles du grand arbre humain. »
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